Des fourrages de qualité pour vos élevages caprins, en adéquation avec les besoins de vos animaux, pour une production laitière optimale et la garantie de leur bien-être.
Les chèvres sont très exigeantes en termes d’affouragement. Plus leur production laitière est élevée et plus leurs exigences augmentent. L’apport en fibres doit être assuré par un foin excellent, de regain structuré ou de luzerne.
La distribution fréquente du fourrage est essentielle. Maximiser l’ingestion de fourrages est une priorité en début de lactation mais aussi tout au long du cycle de reproduction. La réussite du démarrage de lactation dépend en partie de la quantité de fourrages que la chèvre ingère à la mise-bas. Et pour les chevrettes la consommation de fourrages est un élément déterminant pour le développement de leur capacité d’ingestion de futures chèvres du troupeau.
Des fourrages de qualité pour vos élevages caprins, en adéquation avec les besoins de vos animaux, pour une production laitière optimale et la garantie de leur bien-être.
Les chèvres sont très exigeantes en termes d’affouragement. Plus leur production laitière est élevée et plus leurs exigences augmentent. L’apport en fibres doit être assuré par un foin excellent, de regain structuré ou de luzerne.
La distribution fréquente du fourrage est essentielle. Maximiser l’ingestion de fourrages est une priorité en début de lactation mais aussi tout au long du cycle de reproduction. La réussite du démarrage de lactation dépend en partie de la quantité de fourrages que la chèvre ingère à la mise-bas. Et pour les chevrettes la consommation de fourrages est un élément déterminant pour le développement de leur capacité d’ingestion de futures chèvres du troupeau.
Un bon fourrage est un investissement pour l’avenir. La future reproductrice aura une capacité d’ingestion plus importante, et pourra avoir une meilleure production laitière à génétique identique.
Dans l’alimentation des chèvres le choix du foin et de ses espèces prairiales est important. Les graminées et les légumineuses sont très complémentaires dans l’alimentation, chacune apportant des protéines, de l’énergie et des fibres de façon différente. Pour la production laitière des chèvres, les légumineuses apportent l’azote nécessaire à la ration et sont particulièrement adaptées à la production de lait.
Les chèvres ont une panse comparativement plus petite et un transit alimentaire plus rapide que les vaches, c’est pour cela qu’elles doivent recevoir un plus grand nombre de repas, répartis sur l’ensemble de la journée. En passant d’un à quatre repas par jour, l’ingestion augmente de 5 à 10 %. Si les chèvres ont une digestion enzymatique élevée donc moins besoin de fibres brutes que les bovins ou les moutons, elles ont de ce fait un comportement alimentaire plus sélectif. La façon de distribuer va influencer les quantités de foins ingérés : lors de la distribution toujours faire ingérer les fourrages avant les concentrés. Cette valorisation des fourrages dans la ration va vous faire aussi bénéficier d’une meilleures gestion du coût alimentaire de vos élevages caprins.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.