Ce programme participe à la valeur patrimoniale et touristique d’une région mais aussi à la
dynamique de son économie agricole.
Il créé et maintien de l’emploi :
En apportant une amélioration des revenus nets à l’hectare de 20% à 50% pour les exploitations standards, grâce à la pression sur les prix à la hausse, et les compléments de revenus par une double production, et en apportant une solution pour 100% des revenus des exploitations trop petites, nous contribuons à
pérenniser des emplois agricoles. Avec notre objectif de commercialisation de 4 000 hectares :
- 4 000/ 50 hectares d’exploitation moyenne : 80 personnes peuvent maintenir leur emploi en vivant mieux de l’exploitation de leur terre.
Cette activité compatible avec le
pastoralisme devient
créatrice d’emploi pour de jeunes éleveurs qui peuvent s’installer moyennant de faibles charges.
La production de viande ovine française est à développer, puisque 50% de sa consommation est actuellement importée. Pour les jeunes éleveurs qui voudraient s’installer dans la région, l’activité est viable, car un achat d’herbe en estive suffit à nourrir les troupeaux, sans investissement foncier. Ce pastoralisme peut être également à vocation laitière ou fromagère et donner lieu à la fabrication de produits laitiers en AOP.
- 4 000 hectares permettent une activité de pastoralisme pour 20 bergers (200 hectares par troupeau).
Ses enjeux impliquent également la participation active de l’ensemble des pouvoirs publics, des parcs et associations régionales, des bureaux de mise en place de mesures compensatoires pour impact sur l’environnement, afin de le promouvoir et de faciliter sa mise en place.
Depuis le travail sur le terrain avec les producteurs locaux de foin, jusqu’aux consommateurs, ce projet se veut
une chaîne d’intérêts mutuels. Avec pour objectif ultime de leur offrir sur le marché « le meilleur des foins », et ce, en prenant en compte les intérêts économiques, sociaux et écologiques de tous les acteurs de cette chaîne.