Pour les monocultures, la prairie devient une alternative à la jachère, qui n’offrait pour seul revenu, que les aides de la PAC et nécessitaient une lourde remise en culture.
Pour les petites exploitations, la culture de foin génère une rémunération plus importante qu’un blé, grâce à la prise en charge des travaux agricoles, à la commercialisation et les 120€ de pastoralisme, et ce, sans investissements ni main d’œuvre.
Ainsi l’ensemble d’une région, comme la Crau, peu maintenir son niveau de production.
Pour les exploitations de taille normale, le fait de passer ou de rester sur l’exploitation de la prairie en vue d’une commercialisation en fourrage ne pourra que profiter de notre activité de valorisation et commercialisation. En effet, en trouvant de nouveaux marchés, nous allons augmenter la demande et donc directement contribuer à la réputation de l’ensemble de la production de la filière.
Ainsi un exploitant local, qu’il passe ou non par nous et notre usine de valorisation du fourrage ou par les réseaux actuels de commercialisation, va directement profiter de notre activité.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.